l'Assunta, pour flûte basse
Cet instrument au timbre grave et chaud est utilisé ici pour ses couleurs, proches des harmoniques naturelles de do.
Une voix "céleste" se rajoute, la flûtiste chantant et jouant des fondamentales graves en même temps. C'est une allusion à la quintina des voix sardes.
La notion d'élévation est à rapprocher du poème de Chantal "onzain pour la Glorieuse" ( voir ce poème sur le blog Venise, poèmes de voyage, en cliquant sur le lien, à droite de cet article).
marybel d.
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marybel, j'ai été très émue par cette voix céleste qui chantait dans les aigus tout en douceur et jouait du grave en même temps, ça allait si bien avec ce magnifique tableau du Titien !
sais-tu qu'il fait 8 mètres de haut ? oui, huit mètres !!! l'Assunta elle-même devant bien en faire 3 à elle seule ; imaginez un peu : une robe rouge vermillon de 3 mètres de haut... ! ce tableau est une pure merveille...
chantal r.
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